Les violences subies dans l’enfance et à l’âge adulte des femmes sans domicile s’inscrivent dans des rapports sociaux de sexe

Selon Vuillermoz1, le taux de violences, et surtout sexuelles, est plus élevé pour les femmes sans-domicile qu’en population générale. Les violences vécues seraient également plus importantes pour les femmes sans-domicile, que pour leurs homologues masculins2. Le sans-abrisme suivrait la rupture familiale due à des violences intrafamiliales pour les plus jeunes, alors qu’après environ 25 ans…